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lundi 18 octobre 2010

Notice biographique d'Esther Croft (Le père de sons fils)

  La notice biographique d'Esther Croft qui a écrit " Le père de mon fils "


Esther Croft, une écrivaine québécoise, est née à Québec le 23 avril 1945. Elle a complétée des études en Psychopédadogie et en Lettres à l’Université Laval, ou elle s’est formée en animation d’ateliers d’écriture à Paris auprès d’Elizabeth Bing. Elle a aussi enseignée le théâtre et la création littéraire à l’Université Laval.  Elle a également mis sur pied un centre privé de créativité littéraire ouvert à toute personne désireuse d’explorer les multiples facettes du langage écrit et surtout de découvrir et de libérer la singularité de sa propre voix. Elle a aussi collaboré à de nombreuses revues et journaux dont Châtelaine, La revue de la nouvelle, La parole métèque, Le Devoir et Stop. D'ailleurs, elle est membre de l'Union des écrivaines et écrivains des québécois. Aujourd'hui, le 23 avril, la même jour de sa naissance, est la Journée internationale du livre et du droit d’auteur.
Ses écrits sont : - La mémoire a deux faces (recueil de nouvelles, 1987)
               -  Au commencement était le froid (recueil de nouvelles, 1993)
- Tu ne mourras pas (recueil de nouvelles, 1997)
- De belles paroles (roman, 2002)
- Le père de son fils (nouvelle littéraire, 2007)

MA NOTE : 7/10.

Recueil de nouveaux mots (Alexandrie, Alexandrie)

   Un recueil de nouveaux mots d'Alexandrie, Alexandrie de Nicolas Dickner.


- caravansérail P. 151 ligne 73 
 Bâtiments, hôtellerie pour les caravanes, en Orient.
exemple : Ils ont faites un arrêt a un caravansérail.

- dialecte P. 153 ligne 145
Variante régional d'une langue ou l'ensemble des termes utilisés dans un groupe social.
exemple : J'entendais des gens parler avec un dialecte inconnue.

-baragouiner P. 151 ligne 76
Parler mal une langue ou bredouiller.
exemple : Tu baragouines l'anglais.

- besace P.154 ligne 175 
Long sac s'ouvrant en son milieu et dont les extrémités forment des poches.
exemple : Il sortit son manteau de sa besace.

- méhariste P. 154 ligne 160 
 Personne qui monte le méhari : Nom donnée au dromadaire en Afrique du Nord et au Sahara.
exemple : J'ai fait appel a un bon méhariste pour ma première promenade en dromadaire.

- chamelier P.153 ligne 119
 Conducteur de chameau ou de dromadaire.
exemple : Le chamelier les guidait vers une source d'eau.


MA NOTE : 5/10.

Figures de styles (Les Claude)

        Les figures de styles dans Les Claude d'Eric Fourlanty.



P.143 lignes 12 a 14
[...] puis rangea l'image du visage de Claude comme on oublie un porte bonheur sans la poche inférieur d'un vieux veston.
- Personnification et comparaison
ex : Elle était rouge comme une tomate.

P.144 lignes 52 et 53
[...] les années s'écoulèrent dans leurs mains qui se frôlaient et [...]
- Personnification
ex : Les murs criaient au secours !

P.144-145 lignes 53 et 54
[...] leurs silences conjugés disaient le lien qui les unissait.
- Personnification
ex : Les chaises se parlaient entre elles.

P.147 lignes 142 a 144
[...] ranimant une ancienne douleur entre les deux omoplates qui s'étaient réveillée lors du voyage de retour.
- Personnification
ex : Aujourd'hui, les nuages pleuraient.

P.148 lignes 164 et 165 
[...] où se perdait un sourire triste.
- Antithèse 
ex : Ils étaient comme la luit et le jour.
MA NOTE : 9/10.

dimanche 17 octobre 2010

Fin renouvelée (Ça)

La fin renouvelée de "Ça'' de Monique Proulx.

C'est couché sur le trottoir. On dirait une sculpture. Off-off -ex-post-moderne. On s'approche. Ça pue quand on s'approche, ça pue et ça remue, diable ! ça a des yeux. Ça tient un grand sac vert qui déborde de choses. On veut voir ce qu'il y a dans le sac. Ça jappe un peu  quand on arrache le sac, heureusement, ça ne mords pas. On ouvre le sac.
Déboulent silencieusement jusqu'à la rue, une bouteille  
de caribou vide, de l'argent Canadian Tire, un chandail de hockey troué, une carte périmée de la STCUM, un morceau de Stade olympique, un lambeau de société distincte, et une vieille photo, une photo de ça quand c'était humain et petit et quand ça rêvait de devenir astronaute.
(Début de la fin renouvelée)
Mais non, ça traîne dans les rues, surtout Sainte-Catherine, ça quête, quand on passe, ça nous pousse le verre au nez, s'il vous plaît, donner moi de l'argent ! Quand ça l'a son 1,47 $, ça va s'acheter une bière, a la place de s'acheter du savon pour se laver. Certaines personnes ont pitiées, mais pas moi. D'autres, ont des animaux, la plupart du temps, un chien. Celle-la, je la comprendrai jamais. Ils ont de la misère a s'occuper d'eux-même et ils auraient quelqu'un d'autre a s'occuper ? Pitoyable.  Aujourd'hui, ils ont mille et une ressources pour ce sortir de la rue, mais ça ne fait rien pour remédier a la situation. La seule chose qu'on sait c'est que ça restera toujours comme ça.

MA NOTE : 6/10.

Les citations (Dans le noir)

Les citations de '' Dans le noir '' de John Lutz.


P. 129 lignes 13 et 14
- Naturellement, j'avais plaidé non coupable, affirmant que mes aveux m'avaient été arrachés de force. 
Cette citation évoque en moi, un sentiment d'injustice, de rage et surtout d'agressivité. Cette phrase est très puissante, le mot "arrachés" fait toute la différence dans cet énoncé. Je peux même m'imaginer l'action.

P. 132 lignes 117, 118 et 119
- Et puis... quelque chose d'humide et de poisseux, le trou profond, la blessure béante, le revolver, la chair flasque...
Cette citation évoque plusieurs émotions, l'horreur, le dégoût, la douleur, la mort et la violence. Je trouve que cette phrase est très profonde, les adjectifs utilisés sont assez bien choisis, ils ajoutent cette touche si dramatique et expressive.

MA NOTE : 8.5/10.

Resumé (Coup de gigot)

Coup de gigot par Roald Dahl. (Ma nouvelle préférée parmi toutes les autres nouvelles)


C'est l'histoire d'un couple dont la femme, Mme Maloney est enceinte. Femme au foyer, elle fait tout pour rendre son mari heureux. Mais un soir, lorsque son être aimé rentre à la maison, sa femme fait la routine, verre de whisky, prépare le souper, ect... Elle remarque que son mari n'agit pas comme d'habitude, il est plus froid et distant. Comme de raison, son mari lui annonce une mauvaise nouvelle. Mme Maloney, complètement choquée, gigot d'agneau à la main, assomme son époux d'un seul coup. Aller hop ! Le gigot au four. Puis la conjointe alla faire un tour à l'épicerie sans éveiller les soupçons. À son retour, elle constante que son mari est mort. Les policiers arrivent, examinent la scène sans même suspecter la femme. Ils viennent donc à la conclusion que quelqu'un a assasiné son conjoint et que l'arme du crime se trouve dans la maison. Quel hasard, Mme Maloney propose aux policiers un bon repas. Au menu, un bon gigot d'agneau !

MA NOTE : 10/10.

mercredi 13 octobre 2010

Critique de roman.(Le Collectionneur)

Le Collectionneur de Christine Brouillet.


C'est l'histoire d'une détective nommée Maud Graham qui essaie de résoudre des meurtres en série. Lors de ces meurtres les victimes sont amputés de certains membres (pied, sein, main, jambe, torse, ect). Malgré le macabre de la situation, on assiste a une belle relation d'amitié qui unit la détective à un jeune délinquant, qui sera indirectement mêlé aux meurtres. 
Personne n'avait encore parlé de tueur en série, mais...

J'ai énormément aimé ce livre, car déjà, j'aimais les histoires policières avec du suspence et avec un coté assez brutal et cruel. D'ailleurs, ce n'est pas seulement l'histoire d'un psychopathe qui tue et démembre ses victimes, on assiste aussi a une histoire d'amitié entre la détective Maud Graham et un jeune adolescent gai qui se prostitue ; Grégoire.
Le scénario se déroule principalement dans une de nos belles villes, celle de Québec.L’intrigue est très bien faites, et la psychologie des personnages est très intéressante. La fin est très inattendue mais surtout agréable. 
Je recommanderais ce livre a tous ceux qui aiment les thrillers, qui aiment le "suspence". Par exemple, âmes sensibles, s’abstenir. 

MA NOTE : 9/10.

dimanche 10 octobre 2010

Critique de film. (Les sept jours du Talion)

                                               Les sept jours du Talion réalisé par Podz.

Lorsque sa fillette de six ans est retrouvée assassinée et violée, le chirurgien Bruno Hamel décide de kidnapper le coupable et de le séquestrer pendant sept jours dans son chalet isolé. Lui faisant subir de douloureux martyrs, Bruno croit pouvoir exorciser la mort de sa fille. Mais face à l'incompréhension de sa femme, qui le prie de tout arrêter, Bruno se réfugie dans la solitude et le silence, et continue de mener à bien son projet. Le policier Hervé Mercure, qui se remet à peine du décès de sa femme, est chargé de mener l'enquête, mais les nombreuses précautions prises par Hamel et l'échéance approchant compliquent les choses.

Je ne suis pas une grande fan des films québécois mais j'ai beaucoup aimé ce film, même avec la violence et la cruauté, ce film reste très réaliste, il nous fait réaliser a quel point l'amour peu être fort entre un père et sa fille. Aussi, ce film nous fait une petite morale sur la justice de soi-même. Les acteurs sont excellents et les scènes sont très crues et parfois même difficiles a regarder, mais selon moi, c'est ce qui fait toute la force du film. Ce film est assez captivant et il m'a fait vivre une panoplie d'émotions variées. Les dialogues et les descriptions sont réduit au strict minimum pour laisser l'image porter sur les détails les plus nécessaires à la compréhension du film. C'est l'une de ses qualités, mais, c'est aussi un de ses problèmes, parfois cela devient ennuyant. Je recommanderais ce film, mais, coeurs sensibles, évitez ce film.

MA NOTE : 8/10 .